-    des gelées au printemps, engendrant d’importants dégâts sur la flore,
-    un essaimage relativement jugulé,
-    des récoltes parcimonieuses,
-    un climat finalement peu favorable et très sec,
-    des difficultés à faire des miels de cru,
-    un nourrissage des colonies plutôt hâtif enfin d’éviter la famine,
-    une mise en hivernage facilité par un automne tout en douceur, notamment en octobre, qui a apporté quelques    compléments en nectar et pollen,
-    une production annuelle très mitigé.

Le concours des miels a comme d’habitude été le reflet de cette situation et a cruellement ressenti cette difficile année : 180 miels ont été déposés par 95 participants.
Rien de comparable au record de 2007 ou 614 miels avaient été présentés…

Pour autant, les miels 2017 présentés au concours, sont d’une qualité toujours remarquable, avec 84% de médaillés.
Evidemment et plus encore en cette fin d’année, après deux années basses, nous ne pouvons que formuler le vœu d’une année 2018, plus favorable.
Pour autant, dame nature est maitresse de son jeu, même si, reconnaisse-le, l’homme influence fortement et de plus en plus son évolution, accentuant le dérèglement climatique…