Mois de janvier 2012
Rétrospective du mois de décembre 2011
Le dernier mois de l’année nous a apporté quelques belles journées ensoleillées et de l’humidité. Il a fallu attendre le 18 décembre pour que dame hiver pointe temporairement le bout de sont nez. Quelques températures négatives et un peu de neige en plaine.
Les abeilles ont pu effectuer leur vol sanitaire et fureter à droite et à gauche. Certaines ruches trop faibles ont été pillées sans aucune retenue. La loi du plus fort s’applique aussi chez les abeilles. Bien sûr, ce constat nous interpelle et nous questionne : pourquoi ces ruches, qui étaient pleines d’abeilles en automne, se retrouvent-elles tout à coup démunies, alors que les traitements ont été effectués en temps et dans les règles, avec des produits homologués.
Les reines elles, n’ont qu’une seule année de production derrière elles ! Je croix, malheureusement, que personne ne peut encore répondre de façon catégorique à ce phénomène, dont on dit qu’il est multifactoriels. Cela arrange peut être bien des personnes (...). Pourtant les apiculteurs, leurs dirigeants et d’autres anonymes ont redoublé d’efforts ; quelques 150 hectares ont été ensemencés cette année en près fleuris ou jachères apicoles sur le département.
Les ruchers écoles ont fourni un contingent de formations et d’informations, le technicien apicole régional fait de son mieux avec les moyens dont il dispose, pour donner conseil et recommandations. Les apiculteurs font pourtant le dos rond et inlassablement remettent l’ouvrage sur le métier.
Pourtant, on parle aujourd’hui beaucoup plus de notre abeille et nombreux sont celles et ceux qui se manifestent pour dénoncer les pertes de 20% et plus du cheptel apicole.
S’avez-vous qu’il flotte dans notre environnement, plus 300 molécules diverses, sans compter leurs métabolites ? Notre petite abeille a un poids de 0,2gr ; il lui faut donc peu de choses pour qu’elle trépasse Quelques nano grammes de ces éléments, ou les traces de pesticides ou d’insecticides trouvés dans leur nourriture stockée, suffissent à décimer toute une ruche.
Autre facteur plausible, la perte d’efficacité des produits de traitements contre la varroatose auraient-ils atteint leurs limites ??? En somme, nul ne sait vraiment quelle est la cause de nos tourments
Page suivante
Le dernier mois de l’année nous a apporté quelques belles journées ensoleillées et de l’humidité. Il a fallu attendre le 18 décembre pour que dame hiver pointe temporairement le bout de sont nez. Quelques températures négatives et un peu de neige en plaine.
Les abeilles ont pu effectuer leur vol sanitaire et fureter à droite et à gauche. Certaines ruches trop faibles ont été pillées sans aucune retenue. La loi du plus fort s’applique aussi chez les abeilles. Bien sûr, ce constat nous interpelle et nous questionne : pourquoi ces ruches, qui étaient pleines d’abeilles en automne, se retrouvent-elles tout à coup démunies, alors que les traitements ont été effectués en temps et dans les règles, avec des produits homologués.
Les reines elles, n’ont qu’une seule année de production derrière elles ! Je croix, malheureusement, que personne ne peut encore répondre de façon catégorique à ce phénomène, dont on dit qu’il est multifactoriels. Cela arrange peut être bien des personnes (...). Pourtant les apiculteurs, leurs dirigeants et d’autres anonymes ont redoublé d’efforts ; quelques 150 hectares ont été ensemencés cette année en près fleuris ou jachères apicoles sur le département.
Les ruchers écoles ont fourni un contingent de formations et d’informations, le technicien apicole régional fait de son mieux avec les moyens dont il dispose, pour donner conseil et recommandations. Les apiculteurs font pourtant le dos rond et inlassablement remettent l’ouvrage sur le métier.
Pourtant, on parle aujourd’hui beaucoup plus de notre abeille et nombreux sont celles et ceux qui se manifestent pour dénoncer les pertes de 20% et plus du cheptel apicole.
S’avez-vous qu’il flotte dans notre environnement, plus 300 molécules diverses, sans compter leurs métabolites ? Notre petite abeille a un poids de 0,2gr ; il lui faut donc peu de choses pour qu’elle trépasse Quelques nano grammes de ces éléments, ou les traces de pesticides ou d’insecticides trouvés dans leur nourriture stockée, suffissent à décimer toute une ruche.
Autre facteur plausible, la perte d’efficacité des produits de traitements contre la varroatose auraient-ils atteint leurs limites ??? En somme, nul ne sait vraiment quelle est la cause de nos tourments
Page suivante
Date de création : 02/01/2012 09:55
Dernière modification : 31/12/2012 11:12
Catégorie : -
Page lue 14322 fois
Dernière modification : 31/12/2012 11:12
Catégorie : -
Page lue 14322 fois