Mois d'Avril 2010
Vers les archives <<<<<<<<<<<<<<<
Travaux du mois
Pose des cires : dès le début de la floraison des fruitiers, introduisez la cire gaufrée, agrandissez le nid à couvain, mettez en place des hausses, si le corps de ruche est garni d’abeilles (au moment de la floraison des colzas et fruitiers).
Introduisez un cadre à mâles et découpez dès operculation (limitation du développement des varroas). Préparez les ruches d’élevage.
Vérifiez vos pièges à frelons (vider et regarnir).
Approvisionnez vos abreuvoirs.
Vérifiez la quantité de nourriture disponible.
Pose des cires : dès le début de la floraison des fruitiers, introduisez la cire gaufrée, agrandissez le nid à couvain, mettez en place des hausses, si le corps de ruche est garni d’abeilles (au moment de la floraison des colzas et fruitiers).
Introduisez un cadre à mâles et découpez dès operculation (limitation du développement des varroas). Préparez les ruches d’élevage.
Vérifiez vos pièges à frelons (vider et regarnir).
Approvisionnez vos abreuvoirs.
Vérifiez la quantité de nourriture disponible.
Mars : rétrospective
Les pertes hivernales semblent assez importantes sur le département : ruches vides de nourriture (pillage), ruches vides d’abeilles mais stock de nourriture abondant. Cause probable le varroas, un virus ou des pollens contaminés par de nouvelles molécules ? La liste est longue. Ainsi définir une cause spécifique est toujours problèmatique, dans le mesure ou les causes semblent souvent multifactorielles.
L’apiculture paye un lourde tribut au boulversement de notre environnement alors même que la maitrise de la varrotose est toujours un problème crusial. Depuis plus de 20 ans, les même molécules servent à la lutte contre la varroatose et semblent être au bout de leur efficacité. L’acoutumence a certainement fait son chemin.
La recherche stagne. Nous devons utiliser tous les moyens à notre disposition pour combattre ce fléau.
Malheureusement les lanières seules ne suffisent plus.
Il est impératif de complèter en décembre par des traitements par dégoutement à l’acide oxalique ou repasser avec le phagogène.
Il faudra aussi dès que possible, faire construire des rayons de mâles et les détruires, ce qui soulagera la pression des varroas sur les abeilles.
Les pertes hivernales semblent assez importantes sur le département : ruches vides de nourriture (pillage), ruches vides d’abeilles mais stock de nourriture abondant. Cause probable le varroas, un virus ou des pollens contaminés par de nouvelles molécules ? La liste est longue. Ainsi définir une cause spécifique est toujours problèmatique, dans le mesure ou les causes semblent souvent multifactorielles.
L’apiculture paye un lourde tribut au boulversement de notre environnement alors même que la maitrise de la varrotose est toujours un problème crusial. Depuis plus de 20 ans, les même molécules servent à la lutte contre la varroatose et semblent être au bout de leur efficacité. L’acoutumence a certainement fait son chemin.
La recherche stagne. Nous devons utiliser tous les moyens à notre disposition pour combattre ce fléau.
Malheureusement les lanières seules ne suffisent plus.
Il est impératif de complèter en décembre par des traitements par dégoutement à l’acide oxalique ou repasser avec le phagogène.
Il faudra aussi dès que possible, faire construire des rayons de mâles et les détruires, ce qui soulagera la pression des varroas sur les abeilles.
Dame hiver a joué une troisième mi-temps cette année. Retour de la neige et du froid avec un vent glacial pour les semaines 9 et 10.
La tempète de fin février n’a pas trop posée de problème dans notre région, mais a semé la désolation au bord de l’atlantique.
Les abeilles ont reformé leur grappe pour survivre ; elles doivent couvrir le couvain pour éviter sa perte. La consommation s’est accentuée, attention aux réserves.
Date de création : 31/03/2010 09:44
Dernière modification : 30/12/2010 12:15
Catégorie : -
Page lue 16536 fois
Dernière modification : 30/12/2010 12:15
Catégorie : -
Page lue 16536 fois