Mois de novembre 2010
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Rétrospective du mois d’octobre
Un mois d’octobre agréable avec des températures plutôt printanières, les abeilles ont exploité au maximum ces belles journées et ont ramené du pollen et quelques goutes de nectar, de quoi terminer l’année en beauté.
La problématique persistante en cette période de pré-hivernage est celle relative au nombre de varroas résiduels dans les ruches. C’est là un souci majeur pour la survie de nos abeilles. Dés que la température intérieure des ruches tombe en dessous de 30°, le couvain s’épuise.
L’observation des tiroirs des plancher grillagés devient alors impérative, le comptage des varroas (mortalité naturelle) est plus que conseillée.
La problématique persistante en cette période de pré-hivernage est celle relative au nombre de varroas résiduels dans les ruches. C’est là un souci majeur pour la survie de nos abeilles. Dés que la température intérieure des ruches tombe en dessous de 30°, le couvain s’épuise.
L’observation des tiroirs des plancher grillagés devient alors impérative, le comptage des varroas (mortalité naturelle) est plus que conseillée.
Travaux en novembre
Les travaux au rucher se terminent. La période qui s’en suit sera propice à l’entretien du matériel, à l’analyse de l’année écoulée. Quelques précautions sont néanmoins à prendre avant le repos complet des ruches, afin que l’hiver se déroule du mieux possible pour nos protégées.
1) Assurez-vous de la bonne isolation du dessus de vos ruches. Pour ma part, j’utilise deux feuilles plastique ou en pvc comme couvre cadre ; une feuille est percée au centre ce qui permet de placer un nourrisseur. Si besoin la 2ème ferme cet orifice, assurera l’étanchéité du dessus (je change tout les ans cette feuille plastique).
La souplesse de cette feuille, permet l’ouverture pour sortir les lanières (après 10 semaines de traitement), sans que cela ne pose un problème d’étanchéité. Notons que les couvres cadres en bois sont rarement étanches, difficiles à ouvrir du fait de la propolis, qui d’ailleurs est souvent cassante par temps froid.
Les deux feuilles plastiques sont alors complétées par un bout de moquette et une plaque de polystyrène collé sous le couvercle de la ruche. Ce dispositif protège efficacement votre colonie contre les ardeurs de l’hiver, mais aussi en été, contre les fortes chaleurs. Il n’y a pas plus néfaste en hiver pour une ruche, que les courants d’air ascendants.
La chaleur se concentre alors dans le haut de la ruche et le manque d’étanchéité provoque un refroidissement de la grappe, ce qui engendre un surcroit de consommation et pose de gros problèmes lors d’unconfinement prolongé.
1) Assurez-vous de la bonne isolation du dessus de vos ruches. Pour ma part, j’utilise deux feuilles plastique ou en pvc comme couvre cadre ; une feuille est percée au centre ce qui permet de placer un nourrisseur. Si besoin la 2ème ferme cet orifice, assurera l’étanchéité du dessus (je change tout les ans cette feuille plastique).
La souplesse de cette feuille, permet l’ouverture pour sortir les lanières (après 10 semaines de traitement), sans que cela ne pose un problème d’étanchéité. Notons que les couvres cadres en bois sont rarement étanches, difficiles à ouvrir du fait de la propolis, qui d’ailleurs est souvent cassante par temps froid.
Les deux feuilles plastiques sont alors complétées par un bout de moquette et une plaque de polystyrène collé sous le couvercle de la ruche. Ce dispositif protège efficacement votre colonie contre les ardeurs de l’hiver, mais aussi en été, contre les fortes chaleurs. Il n’y a pas plus néfaste en hiver pour une ruche, que les courants d’air ascendants.
La chaleur se concentre alors dans le haut de la ruche et le manque d’étanchéité provoque un refroidissement de la grappe, ce qui engendre un surcroit de consommation et pose de gros problèmes lors d’unconfinement prolongé.
Date de création : 03/11/2010 09:50
Dernière modification : 30/12/2010 12:10
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