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L’abeille et la nourriture :
La qualité et la quantité de l’apport de nourriture sont primordiales. Cet apport dépendra en grande parti de l’activité des butineuses, mais serra directement influencé par les conditions externes environnementale (climat, végétaux, pollution)
Lorsqu’il y a miellée le développement des ruches ne pose aucun problème et aucun phénomène anormale apparaît.
Par contre lorsque il y a disette, en période de sécheresse ou de pluie prolongé, a long terme les colonies s’affaiblissent et la surface de couvain rétréci. Le renouvellement des abeilles ne se fait plus.
La carence en pollen est un facteur primordial en automne, l’abeille pour passer l’hiver doit développer son corps gras, garanti d’un bon hivernage, un apiculteur averti sait que les récoltes à venir dépendront en grande parti d’une excellente mise en hivernage.
Il est difficile de parler de nutrition en apiculture sans aborder le problème des carences alimentaire.
La monoculture s’est développée à outrance et l’océan de maïs qui ne nous entoure na pas fini de réduire la diversité florale. Le territoire offert a nos abeilles s’est beaucoup restreint, la disparition des haies, des arbres en plein champ, des jachères apicoles. Tout cela abouti à une diminution de la diversité des espèces florales sauvages, dont un manque de variété de pollen néfaste a notre apiculture.
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Abeille sur phacéli |
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